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SYSTEME de PROPULSION à DISTORSION (2) :
ANCIENS SYSTEMES et DEVELOPPEMENTS RECENTS
Ancien système de propulsion à distorsion
Système récent de propulsion à distorsion
SUITE DE L'ARTICLE
SPD (3) : M/ARA et PTC éléments du WPS

1 Ancien système de propulsion à distorsion :

la classe Constitution avec l'exemple de l'U.S.S. Enterprise NCC1701 réformé

Les systèmes techniques de distorsion sont logés sur les ponts N et O de l'Enterprise. Tous les systèmes de propulsion et d'alimentation sont contrôlés principalement à partir de cet endroit, comme le système de support de vie et l'équipement de contrôle de la gravité.
Le pont O est appelé simplement "salle des machines ". La salle des moteurs à distorsion, situé à l'avant de ce niveau, est le résultat de plus de 9 ans de recherches et de développements intensifs. Chaque aspect de son arrangement contribue à accélérer le temps de réaction de l'équipage, avec des panneaux de contrôles arrangés de la même manière que ceux de la passerelle pour améliorer les contrôles de commande et les capacités d'interaction.
Chambre intermixe verticale
Localisée au centre de la pièce et s'étendant sur plusieurs niveaux au-dessus et au-dessous de ce pont, la chambre intermixe se dresse verticalement. Cette technologie complexe bénéficiant d'une nouvelle conception procure l'énergie aux moteurs à distorsion ainsi qu'à tous les autres systèmes du vaisseau. Elle est prolongée par une chambre intermixe horizontale qui fournit directement les moteurs à distorsion et les batteries de phaseurs.
Chambre intermixe horizontale
L'antimatière pour la chambre intermixe est contenue dans des "bouteilles " électromagnétiques, logées dans des réservoirs situés à la base du puits de la chambre intermixe. A l'opposé, on trouve le stockage de matière.
Plan général du système de moteurs à distorsion 1 réserve de matière
2 chambre intermixe verticale
3 coeur de la chambre (pont O)
4 chambre intermixe horizontale
5 réserve d'antimatière
L'entrée de salle des machines est caractérisée par un écran de contrôle des systèmes d'alimentation principaux et d'une console de commutations. A partir d'ici, le personnel technique peut contrôler l'utilisation de l'énergie à bord du vaisseau et outrepasser les autres contrôles de bord. Deux ascenseurs pour une personne permettent d'accéder aux différents niveaux autour du puits de la chambre. Un plancher en aluminium transparent entoure le noyau (ou cœur) de la chambre intermixe ainsi qu'une balustrade de protection. Une salle supplémentaire à fait son apparition dans la salle des machines lors de la révision de l'Enterprise ; il s'agit de la chambre de réaction du dilithium. Cette chambre résistante aux radiations, permet un accès direct au cristal de dilithium, permettant qu'il soit facilement remplacé dans le cas de sa combustion ou d'un autre dommage. Le couplage avec le dilithium a lieu sur un piédestal au centre de la pièce. Un double mur transparent qui contient des gaz amortissant les radiations, entre ses deux parois, isole la chambre du reste de la salle des machines.
Plan de la salle des machines
La surcharge du couplage avec le cristal de dilithium peut causer des fuites de radiations excessives dans la pièce. Quand cela arrive, un système automatique de neutralisation des radiations se déclenche et rends la pièce à nouveau habitable en quelques heures. Le remplacement où le repositionnement du cristal peut être pratiqué manuellement en enlevant de dôme de contention mais durant cette procédure, les combinaisons anti-radiations avec un casque sont obligatoires.


2 Système récent de propulsion à distorsion :

la classe Galaxy avec l'exemple de l'U.S.S. Enterprise NCC1701-D

A Introduction

Dans la classe Galaxy, le système de propulsion à distorsion (WPS) consiste en 3 assemblages majeurs : L'assemblage pour la réaction matière/antimatière, les conduits de transferts de puissance, et les nacelles de propulsion à distorsion. L'ensemble du système fournit de l'énergie pour son application principale, propulser le vaisseau à travers l'espace, aussi bien que pour son application secondaire, alimenter pour l'essentiel des systèmes à hautes capacités, comme les boucliers de défenses, les batteries de phaseurs, le rayon tracteur, le déflecteur principal et les noyaux informatiques.


B Historique du développement pour la classe Galaxy

Les spécifications du système de propulsion original, transmis à l'Utopia Planitia Fleet Yards le 6 juillet 2343, conçu pour un vaisseau capable de soutenir une vitesse de croisière normale à distorsion 5 jusqu'à épuisement du combustible, une vitesse de croisière maximum à distorsion 7, et un maximum en vitesse de pointe à distorsion 9,3 pendant 12 heures. Ces étapes théoriques ont été modelés par des simulations informatiques, sur la base d'un véhicule d'une masse de 6,5 million de tonnes. Pourtant, dans les six mois qui suivirent, bien avant que la conception de la structure soit finalisée, Starfleet réévalua la totalité des exigences de la classe Galaxy, sur la base de la combinaison de différents facteurs. Les influences maîtresses étaient :
- changement des conditions politiques entre les membres de la Fédération.
- les services de renseignements décrivirent les progrès de l'équipements des forces hostiles.
- l'augmentation du nombre de programmes scientifiques qui pourraient bénéficier d'un vaisseau avec des performances supérieurs.
Plusieurs essais de modélisations informatiques par des groupes de travail sur les éléments de la structure, des systèmes et de la propulsion aboutirent aux spécifications révisées qui furent envoyées aux concepteurs d'Utopia Planitia le 24 décembre 2344. Ces spécifications requéraient que la classe Galaxy puisse soutenir une vitesse de croisière à distorsion 6 jusqu'à épuisement du carburant, un maximum de vitesse de croisière à distorsion 9,2 et un maximum de vitesse de pointe à distorsion 9,6 pendant 12 heures voir 9,9 en sur - nominal. La masse totale estimée fut réduite par le perfectionnement des matériaux et des réarrangements internes, à 4,96 millions de tonnes. Une fois que le concept principal fut "gelé", les composants du moteur prototype, utilisèrent les éléments des vaisseaux précédents comme points de références. Le modèle informatique de chaque assemblage majeur dut être immergé dans un modèle comprenant la totalité du système dans le but de tester les caractéristiques des performances théoriques. Le premier test du modèle intégrant l'ensemble eu lieu à Utopia Planitia le 16 avril 2356, et fut présenté à Starfleet deux jours plus tard. Alors que les études de performances progressaient, le matériel du prototype fut fabriqué. Les défaillances des matériaux ont gênés le développement initial du noyau du système, la chambre de réaction à distorsion, qui devait contenir les réactions violentes entre matière/antimatière. Ces difficultés furent éliminés avec l'introduction d'hexafluoride de cobalt dans le revêtement intérieur de la chambre, et permit de démontrer l'efficacité du noyau du champ magnétique.
De même, des problèmes des matériaux ralentirent la construction des nacelles des moteurs à distorsion. Les éléments internes clés des moteurs à distorsion, les bobines de verterium cortenide 947/953, qui convertissent l'énergie du cœur en champs de distorsion propulsifs, ne pouvaient pas être manufacturées pour les tolérances en densité et en forme. Ces problèmes furent corrigés avec l'ajustement d'une période plus longue de refroidissement du four.
Remarquablement, le travail sur les conduits de transfert de puissance (PTC) entre le noyau à distorsion et les nacelles se sont déroulés sans incident. Les détails de l'analyse des conduits prototypes avaient révélés très tôt qu'ils pourraient facilement supporter les charges structurels et électrodynamiques nécessaires, et leur fonctions principales ne furent que peu changées par rapport à leur prédécesseur du siècle précédent.
Une fois que le test de la structure du prototype fut suffisamment complet pour fonctionner, l'installation du moteur fut réalisé. Les conduits de transferts de ouissance qui ont été incorporé dans les pylônes de support des nacelles lors de la construction de la structure, attendaient l'arrimage des nacelles et de l'assemblage du noyau. Le 5 mai 2356 le prototype spatial NX-70637, pas encore baptisé USS Galaxy, existait pour la première fois en tant que vaisseau spatial pouvant voler.
U.S.S. GALAXY


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