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RESERVES DE CARBURANT DU SYSTEME DE PROPULSION A DISTORSION
Stockage du carburant matière
Stockage et transfert de l'antimatière
Génération d'antimatière à bord

I Stockage du carburant matière

La réserve de carburant du système de propulsion à distorsion (WPS) est contenue à l'intérieur du réservoir principal de deutérium (PDT) dans le module de combat. Le PDT, qui alimente aussi l'IPS (système de propulsion à impulsion), est normalement chargé avec du deutérium semi - liquide à une température d'environ -260° C. Le PDT est construit dans une matrice emboutit de cortanium 2378 et d'acier inoxydable, avec une isolation de mousse de duranite -cuivre - silicium fixée en couches alternant parallèles/biais et gamma-soudées.
Les ouvertures dans ces réservoirs, pour les lignes de sorties et les senseurs, sont faites par des phaseurs découpeurs de précision. Il y a au total quatre collecteurs principaux d'alimentation en carburant allant du PDT à l'injecteur de réactif à matière, 8 conduits d'alimentation croisée allant du module soucoupe aux réservoirs auxiliaires, et 4 alimentant les moteurs de propulsion principale.
Le volume interne total, qui est compartimenté pour lutter contre les pertes causées par des dommages structurels, est de 63200m3, bien que le volume normal de deutérium chargé soit de 62500m3. Comme le volume d'antimatière est chargé pour une période typique de plusieurs missions, un plein chargement est considéré comme pouvant suffire durant approximativement 3 ans.
Comme avec n'importe quel réservoir construit, il faut s'attendre à ce qu'un certain pourcentage de molécules de deutérium migrent à travers les parois du réservoir au cours du temps. Le taux d'écoulement du réservoir a été mesuré comme étant inférieur à 0.00002 Kg par jour. Des valeurs proportionnelles sont aussi bien valables pour les réservoirs auxiliaires.
Le deutérium semi - liquide est créé par électrolyse centrifuge de différents matériaux, incluant l'eau de mer, les glaces et neiges de satellites de planètes, le noyau de comètes. On obtient selon, des proportions différentes de deutérium et des déchets, mais pouvant être traité par le même matériel de Starfleet. Les citernes de deutérium du vaisseau sont beaucoup plus nombreuses que leurs homologues pour l'antimatière, et peuvent fournir des réactifs de secours pendant plusieurs jours. Deux points d'alimentation sont localisés le long du dos de la structure du module de combat, à l'arrière de la "queue" du réservoir. L'interface des points de chargement contient des connections structurelles pour s'amarrer solidement dans une base spatiale ou dans un dock de maintenance dans l'espace, aussi bien qu'un détendeur de pression, un équipement de purge d'entrée et de sortie, un réseau optique de donnée relié aux ordinateurs des bases.
Il est également possible de produire du deutérium grâce aux collecteurs de Bussard collecteurs de Bussard.

Réserves de carburant et WPS 1 réservoir de matière
2 WPS
3 conduit reliant réservoir de matière et générateur d'antimatière
4 PTC
5 capsules d'antimatière
6 port de chargement d'antimatière
7 générateur d'antimatière
Réservoir principal de deutérium 1 conduite de distribution
2 ports de remplissage et de purge
3 réservoir compartimenté

II Stockage et transfert de l'antimatière

Depuis que son existence a été confirmée dans les années 1930, le concept de la forme d'une matière avec la même masse mais une charge et un spin inversés ont intrigués les scientifiques et les ingénieurs qui y ont vu le moyen de produire des quantités d'énergies sans précédent, et d'appliquer cette énergie pour diriger de grands véhicules spatiaux.
La théorie cosmologique maintient que toutes les parties des constituants de l'univers ont été créé en double; c'est à dire pour une particule de matière il existe une particule d'antimatière. La raison pour laquelle il semble y avoir une propension vers la matière dans notre voisinage galactique est à ce jour un sujet vivement discuté. Toutes les principales antiparticules ont pu être synthétisés, pourtant, et sont disponibles pour une utilisation continue, expérimentale et opérationnelle.
Quand, par exemple, un électron et un anti - électron (ou positron) sont à proximité, ils s'annihilent mutuellement, produisant des rayons gamma énergétiques. D'autres paires particules - antiparticules s'annihilent dans différentes combinaisons de particules subatomiques et d'énergie. Les résultats théoriques d'une réaction particulière intéresse les ingénieurs de vaisseau, notamment ceux présentés par le deutérium, un isotope de l'hydrogène et son équivalent en antimatière. Les problèmes rencontrés tout au long du parcours pour achever un moteur M/A fonctionnel, pourtant, étaient aussi effrayants que les récompenses possibles en cas de victoire. L'antimatière, à partir du moment de sa création ne pouvait ni être contenue ni touchée par aucune matière. De nombreux plans proposaient de contenir l'anti - hydrogène par des champs magnétiques. Ceci continue d'être une méthode acceptable. Une quantité appréciable d'anti - hydrogène, dans la forme liquide ou mieux semi - liquide, posent des risques significatifs si n'importe quelle portion de la contention magnétique cède. Durant les 50 dernières années, des souteneurs de champs supraconducteurs fiables et d'autres mesures ont permis un degrés de sécurité plus grand à bord des vaisseaux opérationnels de Starfleet.
Comme utilisée à bord de l'U.S.S. Enterprise, l'antimatière est générée en premier dans les installations majeures de ravitaillement de Starfleet par l'association d'un dispositif d'inversion de charge à fusion solaire, qui utilisent des protons et des neutrons pour émettre des anti - deuterons, et un accélérateur de rayon de positron pour produire de l'anti - hydrogène (plus précisément de l'anti - deutérium). Même avec l'entrée de la dynamo solaire en supplément, il y a une perte d'énergie nette de 24% en utilisant ce processus, mais cette perte est considérée comme acceptable par Starfleet pour conduire des opérations interstellaires distantes.
L'antimatière est gardée contenu par des conduits magnétiques et un réservoir compartimenté tant qu'il est à bord des installations de ravitaillement. Les vaisseaux récents sont aussi construit avec en place un réservoir compartimenté, bien que cette méthode ait montré qu'elle est moins souhaitable du point de vue de la sécurité dans un vaisseau exposé à des contraintes importantes. Durant un ravitaillement normal en carburant, l'antimatière est passée à travers le port de chargement, un dispositif circulaire de 1,75 mètre de diamètre ancré et sondé, équipé avec 12 solides verrous d'amarrage et d'iris magnétiques. Entourant le port de chargement d'antimatière, on trouve sur le pont 42, 30 capsules de stockage, chacune mesurant 4*8 mètres, construite en polyduranium, avec une couche interne de champ magnétique en quonium ferrique. Chaque capsule contient un volume maximal de 100m3 d'antimatière, donnant un volume total de 3000 m3, assez pour une période de mission normale de 3 ans. Chacune est connectée par un conduit protégé à une série de collecteurs de distributions, contrôleurs de flux, et à l'entrée d'alimentation du système d'électro-plasma (EPS). Dans des conditions de ravitaillement rapide en carburant, réservé aux situations d'urgences, l'ensemble des capsules de stockage d'antimatière (ASPA) peut être dégagé en entier et remplacé en moins d'une heure.
Dans l'éventualité d'une perte de contention magnétique, ce même ensemble peut être éjecté par des lanceurs à micro - fusion à la vitesse de 40m/s, le libérant du vaisseau avant la dégénération du champ et que l'antimatière ait une chance de réagir avec les murs des capsules. Alors qu'un petit groupe de capsules peut être déplacé dans des conditions normales, la méthode de transfert par pompe magnétique est préférée.
L'antimatière, même contenue à l'intérieur des capsules de stockage ne peut pas être déplacée par un téléporteur sans de vastes modifications de la mémoire tampon, des conduits de transferts et des émetteurs du téléporteur pour des raisons de sécurité dû à la nature hautement volatile de l'antimatière. (exceptions spécifiques s'applique pour des petites quantités d'antimatière stocké dans des dispositifs de contention approuvés, normalement utilisés pour des applications spécialisées d'ingénieries ou scientifiques.)
Le ravitaillement en carburant dans l'espace interstellaire est possible par l'utilisation d'un vaisseau réservoir de Starfleet. Les transporteurs citernes courent des risques considérables, non à cause de problèmes matériels mais car l'antimatière raffinée est une ressource précieuse, et est vulnérable à la capture ou la destruction par des forces menaçantes durant le transit. Des croiseurs d'escortes de Starfleet font partie de la procédure standard pour tous les mouvements des vaisseaux - citernes.

capsule de stockage d'antimatière

III Génération d'antimatière à bord

Comme mentionné précédemment, il existe à bord des vaisseaux de classe Galaxy la possibilité de générer des quantités relativement petites d'antimatière durant des situations d'urgence potentielle.
Le processus est intensif du point de vue des quantités d'énergie et de matière utilisées, et ne peut être avantageux dans des conditions de fonctionnement normal. Toutefois, comme avec le collecteur de Bussard, le générateur d'antimatière peut fournir des réserves vitales de carburant, quand elles sont le plus nécessaire.
Le générateur d'antimatière réside sur le pont 42, entourant les autres éléments du WPS. Il consiste en deux ensembles clés, l'entrée de matière/conditionneur (MI/C), et le dispositif d'inversion de charge quantique (QCRD).
Le générateur dans son ensemble mesure environ 7,6 * 13,7 mètres et pèse 1400 tonnes. Il est l'un des composant les plus lourds, dépassé seulement par les bobines de champ de distorsion. Le MI/C utilise pour sa construction du tritanium et du polyduranide conventionel, comme s'il traitait uniquement du deutérium cryogénique et des carburants similaires. D'un autre côté, le QCRD emploie alternativement des couches d'une matrice sur - densifiée de cobalt - yttrium -polyduranide et de l'argium - kalinite 854. Ceci est nécessaire pour produire l'amplification de puissance requise pour tenir les collections de particules subatomiques, inverser leur charge et collecter la matière inversée pour son stockage dans les capsules d'antimatière à proximité.
La technologie employée dans le QCRD est similaire à celle employée dans le téléporteur, SIF, IDF et les autres dispositifs qui manipulent la matière à un niveau quantique. Le processus de conversion commence par l'entrée de matière normale, étirée en de minces filets pas plus large que 3*10^-6 cm. Les filets alimentent sous pression le QCRD par suspension magnétique, où des regroupements d'entre eux sont refroidit à 0,001 degrés du zéro absolu et exposés durant une courte période à un champ de stase pour limiter d'avantage les vibrations moléculaires. Alors que le champ de stase se dissipe, un champ subspatial convergeant est dirigé en profondeur à l'intérieur de la structure subatomique pour inverser les charges et les spins des protons, neutrons et électrons gelés. La matière inversée, maintenant de l'antimatière, est magnétiquement enlevée pour son stockage. Le système peut normalement produire 0,08m3/h.
L'énergie potentielle totale contenu dans une quantité donnée de deutérium peut conduire un vaisseau à une distance considérable.
Mais appliquer cette énergie à des vitesses subluminique pourrait être inutile. Le vol interstellaire à vitesse de distorsion implique des vitesses des dizaines de milliers de fois plus grande que celles données par la puissance de l'impulsion. Un désavantage imposé par le processus est qu'il nécessite 10 unités de deutérium pour alimenter le générateur, et le générateur ne produira seulement qu'une unité d'antimatière. De plus, la loi de conservation d'énergie dicte que la puissance requise pour ce processus excède l'énergie utilisable provenant en finalement du résultat du carburant antimatière. Quoi qu'il en soit, ceci peut fournir la marge de survie nécessaire pour atteindre une baste stellaire ou pour rejoindre un vaisseau - citerne.

appareil de synthèse d'antimatière

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