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LES MOTEURS A IMPULSION
Opérations techniques et de sécurité
Procédures d'arrêt d'urgence

Opérations techniques et de sécurité

Gestion de maintenance

Tout le matériel des moteurs principaux d'impulsion (MIE) et les moteurs d'impulsions de la soucoupe (SMIE) est entretenu selon les standards de Starfleet MTBF de contrôle et des plans de remplacement. Ces composants qui dans le système sont exposés aux cycles de contraintes les plus énergétiques sont, bien sûr, sujets aux taux de changements les plus hauts. Pour exemple, le fourreau intérieur de fluor de gulium cristallin de la chambre de réaction à impulsion (IRC) est régulièrement contrôlé pour l'érosion et les effets de fractures provenant de la réaction de fusion continue, et est normalement remplacée après 10000 heures de service, ou après que 0,01 mm de matériel soit enlevé, ou s'il y a 2 ou plus fractures/cm3 mesurant 0,02 mm de formées, peu importe la condition arrivant en premier. La charpente sphérique de l'IRC est remplacée après 8500 heures de vol, comme tous ses sous-ensembles. Les injecteurs de deutérium et d'antimatière, les initiateurs standards, et les senseurs peuvent être remplacés durant le vol ou en orbite sans l'assistance d'une base stellaire.
En aval, l'accélérateur/générateur(A/G) et le montage de bobines conductrices (DCA) sont remplacés après 6250 heures ou si une usure accélérée ou des anomalies spécifiques de structure se produisent. Dans l'A/G, le remplacement normal est dû au phénomène du métal friable provenant des effets des radiations. Durant le vol, seul l'assemblage de l'accélérateur peut être démonté pour une analyse de contrôle non destructive (NDT).
Parallèlement, le DCA est sujet au remplacement après 6250 heures de vol. Le remplacement normal est rendu nécessaire à cause des effets thermiques et électromagnétiques créés par les bobines conductrices. Aucun des composants des DCA ne peut être remplacé en vol et toutes les opérations de réparations doivent être traitées dans le hangar d'une base spatiale. Le système régissant la direction des produits d'échappement (VED) est toujours en état de fonctionner en vol, requérant une moindre attention quant aux effets de détérioration par l'énergie. Toutes les palettes directionnelles et les glissières peuvent être répliquées et remplacées sans l'assistance d'une base spatiale.

Normes d'utilisation

La prudence en usage est aussi vital en partant de l'IPS jusqu'au VPS. Alors que les limites des matériaux pour les niveaux d'alimentation et pour le temps de fonctionnement à des niveaux de surcharge sont facilement atteintes et dépassées, les systèmes sont protégés à travers la combinaison des interventions de l'ordinateur et des commandes humaines raisonnables.
Aucun moteur IPS individuel ne peut être poussé à plus de 115% de l'énergie de sortie du réacteur, et s'il peut être poussé entre 101% et 115%, c'est seulement avec un rapport puissance/temps tels t=p/3.

Conclusion

L'IPS requière approximativement 1,6 fois le temps de maintenance du WPS, principalement à cause de la nature de l'énergie relâchée dans le processus de fusion. Les tensions thermiques et acoustiques ont tendance à être plus grande par unité de surface, une petite pénalité due au maintien d'un moteur de petite taille. Alors que les réactions des moteurs à distorsion sont de l'ordre d'un million de fois plus énergétiques, l'énergie est crée avec moins de chocs structurels transmis. Le compromis dans le modèle principal réalisé par Starfleet R&D est évident quand on considère l'efficacité du système d'alimentation matière/antimatière et il ne saurait donc pas être réduit aux dimensions de l'IPS.


Procédures d'arrêt d'urgence

Objectifs

Une défaillance du matériel et des commandes outrepassées peuvent désigner des contraintes anormales dans la totalité du système de propulsion à impulsion (IPS), requérant l'arrêt à différents degrés des moteurs. Le système de senseur, les logiciels opérationnels et l'action humaine travaillent de concert pour désactiver des composants du système de propulsion à impulsion dans des conditions telles une charge thermique excessive, un déséquilibre de réacteur entre un groupe et un moteur individuel, et une variété d'autres problèmes.

Causes

Les causes internes les plus communes pour de faibles niveaux d'arrêt d'urgence dans l'expérience de Starfleet comprennent le diminution du flux de carburant, le déphasage de l'initiateur d'allumage, le mauvais alignement de la palette d'échappement, et les turbulences de plasma à l'intérieur de l'étape d'accélération. Les causes externes pour l'arrêt comprennent l'impact d'astéroïdes important, après avoir essuyé un combat au phaseur, les effets de l'énergie thermique d'étoiles, et l'interaction lors du croisement du champ de distorsion d'un autre vaisseau.

Procédures

Les routines informatiques d'arrêt d'urgence implique la fermeture graduelle du flux du deutérium et la sécurisation du régulateur d'initiation de fusion, en découplant simultanément l'accélérateur en écoulant l'énergie résiduelle dans l'espace ou dans le réseau d'alimentation du vaisseau. Quand ces procédures sont complétées, les bobines de l'assemblage des bobines conductrices (DCA) sont sécurisées par l'interruption de l'ordre de pulsation normale de bobine, les réglant efficacement en condition d'alimentation neutre, et permettant au champ de s'effondrer. Si l'arrêt est dans un moteur isolé, la distribution de l'alimentation est reconfigurée à la première indication de trouble.
Les variations de ces procédures sont stockées à l'intérieur de l'ordinateur principal et le coordinateur de commande IPS. La surveillance de l'équipage de l'arrêt est requise par Starfleet, bien que de nombreux scénarios aient vu leurs moteurs sécurisés avant qu'une réaction humaine fiable puisse être incorporée. Les procédures d'arrêt volontaire sont sûres et acceptées par l'ordinateur principal dans 42% des incidents enregistrés.


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